Cette année encore, l’accroissement des déficits budgétaires des administrations publiques est un sujet qui n’a échappé à personne.
62000€. C’est ce que représente la charge de la dette par actif. J’évoquais précédemment la précarité des jeunes : souhaitons nous faire peser davantage ce fardeau sur leurs épaules ?
Ce n’est pas l’apanage du gouvernement et d’un cercle restreint d’économistes de vouloir s’emparer du problème de la dette : le parlementaire a voix au chapitre et peut être une force de proposition non négligeable.
Je mettrai ainsi tout en œuvre pour :
– Encourager la fixation d’objectifs ambitieux de réduction du déficit à travers le travail conjoint des deux Assemblées.
– Accompagner une réforme intelligente de la fiscalité en proposant des plans pertinents de rationalisation de la dépense publique.
– Demander la transparence sur la structure de la dette et permettre aux deux chambres un droit de regard accru sur les comptes ministériels, pour une gestion commune du déficit.
– Assouplir la mise en place des normes coûteuses imposées à nos collectivités.