Le Petit Bleu du 24/06/2013. Ce qu’elle a accompli à Agen

Depuis hier, Corinne Griffond n’a plus de fonction nationale au sein de l’Unaf. Il y a quelques années, elle avait déjà quitté l’Udaf (Union départementale des associations familiales) ainsi que la Caf, Caisse des allocations familiales.

De quoi êtes-vous à l’origine sur l’Agenais ?

Des crèches à horaires atypiques Kirikou et Yakari plus récente. Cela n’a pas été facile ! J’ai dû faire face à quantité d’oppositions, mais j’y croyais. Il fallait absolument trouver quelque chose pour permettre aux mamans de retourner travailler et de ne pas refuser des contrats avec des horaires peu ordinaires, y compris le week-end. J’ai aussi mis en place le service médiation familiale à l’Unaf, un service qui est à l’écoute des problèmes intrafamiliaux, qui tente de résoudre les conflits conjugaux ou parents-enfants. Les maisons relais également ainsi que les familles gouvernantes qui permettent d’accueillir et d’aider dans la vie de tous les jours des personnes qui n’en ont plus toutes les capacités. Et je dois toute cette énergie de créer à Hippolithe Dessinge, qui a présidé l’Udaf durant 40 ans, qui m’a ouvert la voie.

Est-ce que ces combats vous ont servi pour votre vie politique ?

Évidemment ! Ces combats m’ont servie. Cette histoire militante, je ne m’en affranchirai pas. À présent, je suis entrée dans ma troisième vie, sans quitter les deux autres tout à fait. La première, ma vie consacrée à ma famille et mes enfants, la seconde, ma vie de militante, et maintenant, ma vie politique.

Le Petit Bleu

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